Cette vision s’inscrit à l’intérieur d’un modèle intégré de développement de l’enseignement supérieur en région et propose un système d’innovation qui en découle.
Ces créneaux correspondent pour la plupart à des unités internes du Cégep, mais certains sont aussi le fait d’organismes à but non lucratif (OBNL) avec lesquels des ententes de gestion sont convenues. Ils font l’objet de divers travaux. L’objectif est d’établir et de mettre en œuvre une programmation d’activités, une capacité de recherche correspondante (ressources humaines, matérielles et financières) de même qu’un cadre organisationnel performant. Les créneaux évoluent en fonction du contexte ou des intérêts des chercheurs concernés.
Depuis 2011, il est connu sous l’appellation d’Institut technologique de maintenance industrielle (ITMI).
L’ITMI poursuit ses activités dans trois domaines :
De plus, il doit desservir l’ensemble du Québec dans la spécialité qui lui est propre. La reconnaissance de l’ITMI a été renouvelée pour cinq ans, en 2019.
En vertu de son énoncé de mission, l’ITMI entend offrir aux entreprises un accompagnement sur mesure dans l’amélioration de leur productivité et de leur compétitivité, et ce, par le développement et l’intégration de solutions intelligentes misant sur des technologies de pointe donnant lieu à des activités de recherche, d’innovation et de transfert de connaissances en maintenance industrielle.
Dans le contexte de la transformation numérique caractérisant la quatrième révolution industrielle, l’ITMI entend être un acteur reconnu à l’échelle du Québec pour son expertise dans l’intelligence et la performance des systèmes industriels. Les orientations stratégiques de l’ITMI se déclinent en fonction de quatre enjeux :
L’ITMI compte une équipe de conseillers techniques et de chercheurs encadrée par un directeur et du personnel administratif. Des étudiants stagiaires se joignent aussi ponctuellement à l’équipe. Dans le cadre de ses projets, l’ITMI collabore activement avec des partenaires industriels et institutionnels.
Les recherches menées visent à améliorer la performance du réseau ferroviaire, notamment la fiabilité des infrastructures et des équipements, de même que des méthodes d’exploitation.
Les opérations ferroviaires de la région sont caractérisées par des convois longs et lourds, et des conditions climatiques souvent extrêmes en milieu isolé. Autant de défis qui font appel à des solutions pouvant s’appliquer dans des contextes similaires ailleurs au Canada et dans le monde.
La Chaire est sous la direction d’un titulaire qui s’appuie sur une équipe de conseillers techniques et de chercheurs pouvant parfois être partagée avec l’ITMI. Des étudiants stagiaires peuvent aussi se joindre ponctuellement à cette équipe.
Tous les collaborateurs du GRÉNOC ont cet intérêt commun pour la Côte-Nord, et particulièrement celle que présentent les textes, qu’ils soient :
Le GRÉNOC analyse un corpus varié en tentant de cerner en quoi les textes qui abordent ou traitent de la Côte-Nord présentent un imaginaire particulier, différent d’autres textes québécois, par exemple.
Faire l’inventaire en les relisant et les commentant des textes qui disent, dans des langages divers, l’immense région qu’est la Côte-Nord.
Par écriture nord-côtière, on entend tout texte qui parle de la Côte-Nord, de façon concrète, imagée, symbolique, précise ou allusive: on définit alors l’écriture nord-côtière à partir du référent textuel géographique, historique ou culturel; par textes, on entend tout type de textes, littéraires ou non; par la lecture, le commentaire et l’analyse, on cherche à comprendre comment s’élabore la représentation de la Côte-Nord dans les textes.
Mener à bien des projets d’éducation, d’animation, de diffusion et de sensibilisation.
Publier une revue annuelle, Littoral, afin de rendre compte de ses travaux de recherche. Pour un aperçu de la revue, cliquez ici.
Les systèmes énergétiques intelligents constituent l’ADN du centre, ils proposent un modèle de gestion multisectorielle et multiéchelle qui combine les principes des smart grids, des smart-industries et des smart-homes. Ce modèle de gestion vient en réponse aux nouveaux défis que les systèmes de production décentralisée (éolienne, panneaux photovoltaïques, etc.) et les systèmes de stockage d’énergie imposent. Par son équipe dynamique, son expertise et ses partenaires de recherche, CR2ie se veut un pont entre le monde académique et la réalité du terrain de l’industrie où la recherche appliquée apporte des solutions innovantes et efficaces aux problématiques de l’industrie.
CR2ie s’inspire des deux facettes électriques et thermiques de l’énergie et la transmission de cette dernière de manière sécuritaire, fiable et à faible coût. De façon plus concrète, le champ d’activité de CR2ie repose sur cinq axes : réseaux intelligents ou Smart Grids, micro-réseaux et systèmes électriques industriels, bâtiments intelligents ou Smart Buildings, efficacité énergétique industrielle et sécurité informatique des réseaux électriques et des systèmes énergétiques.
Le dispensaire urbain se veut un centre dédié à l’enseignement clinique à des étudiantes infirmières et étudiants infirmiers de niveaux collégial et universitaire (1er, 2e et 3e cycle) ainsi qu’à des étudiants issus d’autres disciplines (physiothérapie, médecine, kinésiologie, travail social, psychologie, etc.) ou de domaines connexes (bureautique, informatique, comptabilité et gestion, etc.) dans un milieu urbain où des soins infirmiers de première ligne doivent être dispensés de façon exemplaire et sécuritaire.
Ce projet novateur mobilise trois acteurs essentiels :
Le dispensaire sera localisé dans le pavillon universitaire Alouette et l’unité clinique de soins infirmiers du Cégep sera agrandie pour les besoins des étudiants universitaires.
Ce centre viendrait augmenter la capacité expérimentale d’autres unités de recherche et faciliterait la mise en œuvre d’innovations dans les domaines suivants :
Le Centre sera sous la responsabilité du directeur de la recherche et de l’innovation du Cégep de Sept-Îles.
Ce centre mène des projets d’incubation d’entreprises en lien avec le concept d’Industrie 4.0 et gère un Centre d’excellence sur l’intelligence et la performance des systèmes industriels (I-Prysme) reconnu par le ministère de l’Économie et de l’Innovation (MÉI).
Il est aussi pressenti par le MÉI pour être l’organisme porteur du pôle régional d’innovation de la Côte-Nord.